Dyplomacja francuska a pierwsze „prace rozbrojeniowe" w Lidze Narodów (1920—1922)
DOI:
https://doi.org/10.18778/0208-6050.24.08Abstrakt
La diplomatie française prit une attitude pleine de retenue et même hostile à l'égard du problème de réduction et do limitation des armements. On subordonnait le processus du désarmement au progrès dans le domaine de sécurité. Les délégués français soulignaient ce principe dans les commissions de la Société des Nations examinant le problème do désarmement — la CPC, la CTM, les IIIème et IVème Commissions. Ils s'opposaient aux projets de bloquer les dépenses militaires et à la réduction directe des armements de terre (plan d'Esher). Ils liaient la question du „désarmement moral" au remboursement des réparations dues à la France de la part de l'Allemagne. Les diplomates français faisaient des démarches pour obtenir la reconnaissance des alliances militaires de la France pour un élément durable de „sécurité internationale", pour une condition de réduction graduelle des armements. Cette demande fut prise en considération par la résolution XIV, votée le 23 septembre 1922 pendant la IIIème session de l’Assemblée de la Société des Nations.
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