Mocarstwa europejskie wobec powstania listopadowego

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DOI:

https://doi.org/10.18778/0208-6050.16.06

Abstract

Les états européens malgré la sympathie de leurs nations témoignée à la Pologne n’avancèrent pas la cause polonaise au forum international, ne la firent pas réexaminer par les contractants viennois. On sait que les émissaires de l'insurrection ne furent nulle part tenus pour représentants polonaise, car cela aurait été le premier pas en voie de reconnaître l’indépendance de la Pologne. Toutes les démarches des cabinets européens étaient conçues du point de vue des relations des pays particuliers avec la Russie et non pas comme l’attitude directe envers la Pologne. C’est pourquoi la cause polonaise se trouva au carrefour des courants politiques divers. La crainte de la révolution universelle, la rivalisation d’intérêts mutuels des pays particuliers, la diplomatie russe agissante d’une manière exceptionellement habile, et par contre, l'incapacité, le manque d’élasticité et de prompte décision de la part de la diplomatie polonaise – c'étaient des facteurs qui traçaient la ligne, se cassant et se rompant souvent, des démarches prudentes des pays de l'Europe occidentale concernant directement ou indirectement l'insurrection de novembre.

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Published

1983-01-01

How to Cite

Kocój, H. (1983). Mocarstwa europejskie wobec powstania listopadowego. Acta Universitatis Lodziensis. Folia Historica, (16), 81–96. https://doi.org/10.18778/0208-6050.16.06

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