Szlachta wobec zniesienia poddaństwa w Księstwie Warszawskim

Abstract

L'auteur signale le fait, que l'abolition du servage personnel dès paysans par la Constitution en 1807 réalisait partiellement les tendances de la gauche radicale jacobine, qui liait cet événement a une reforme sociale et économique plus profonde (l'attribution de l'utilisation de la terre). Au contraire, la noblesse, en règle générale, considérait l'abolition du système de classes, la suppression de la souverainté domaniale des héritiers et l’introduction de l’egalite par rapport au droit et les tribunaux comme une menace dangereuse pour leur position dans la société et l'économie. L’inquiétude particulière était causée par l'introduction du Code de Napoléon admettant un payement en argent de la part des paysans en échange de la corvée non-accomplie (cela ébranlait la raison d'être de la contrainte de corvée, donc aussi des métairies de corvée) et l’acquittement des cens perpétuels (ce qui égalait l'affranchissemnt des censitaires). Cette inquiétude eut pour effet que le décret du 21 décembre 1807, privant les paysans de tous les droits coutumiers aux exploitations agricoles et rendant possible l’expulsion, fut impose par le ministre F. Łubieński. Les héritiers pouvaient, maintenir du moins partiellement, leur souveraineté extra-économique sur la campagne, car ils exerçaient la fonction du maire de commune (comme représentants de l'état).