„Judeomasoneria” – ze stereotypu wolnomularstwa w Polsce międzywojennej
DOI:
https://doi.org/10.18778/0208-6050.54.08Abstrakt
Cet article cherche à montrer et à comparer par rapport à la réalité, les stéréotypes de la franc-maçonnerie juive au sein de l’opinion publique de la II Ré-publique. La théorie du compot des Juifs omniprésents et des franc- maçons fut et reste présente dans l’opinion des groupements nacionalisles et antisémites dans le monde entier. En Pologne entre les deux guerres l’image de la franc- maçonnerie en tant que de l’organisme dépendant des Juifs fut propagée par le camp nationaliste et une partie du clergé catholique - facteurs disposant d’une forte influence face aux massmedias. Vu la propagande très intensive et organisée à long terme par les milieux indiqués, l’opinion publique de la II République d'autant plus „apprivoisa” le mythe de la franc- maçonnerie juive qui survit même le drame de la guerre et l’holocauste.
Pourtant ce stéréotype négligeait la réalité historique. La franc- maçonnerie ne fut jamais et n’est toujours pas une organisation dirigée par les Juifs (le couvent juif B’nei B’rith constitue un problème à part). Cette conviction résulte de l’approche trop tendancieux, des ressemblances de la symbolique maçonnique et juive, d’une certaine compatibilité des objectifs (bien sûr seulement sous certains aspects) des loges et du milieu juif de même que des organisations qui se ressemblent (structures internationales).
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