Próba reformy urzędu hetmańskiego w czasach Jana III Sobieskiego

Abstrakt

Après la deuxièm e guerre m ondiale, dans l'historiographie polonaise, augmenta l'intérêt au problème de la réforme du régime, la charge du com mandant en chet de l'armée y comprise. Depuis la moitié du XVII^ème siècle, l'opinion de la noblesse exigeait la limitation du pouvoir du com mandant en chet de l'armée et la soumission de celui-ci au contrôle de la diète. Ces dem andes venaient des m ilieux des m écontents, et de ceu x antim onarchiques. Sous le règne de Michał Wiśniowiecki la situation devient inverse: c’étaient les royalistes qui exigèrent la lim itation du pouvoir du cam mandant en chet de l'armée. Cette fonction était exercée par Jean Sobieski. Celui-ci, élu roi grâce à ses adm irables victoires, eut aussi l’intention de réiorm er la charge da commandant en chef de l'armée, voulant limiter la période de l'exercice de cette charge (la durée de celle-ci était perpétuelle). Cependant il abandonna cette question et la réforme ne fut pas réalisée.

L'auteur exam ine les raisons qui liront négliger la réforme. Il en voit quelques-unes. Dans l'historiographie domine l'opinion, que c'était la reine Marie Casimire qui s'y opposa. L’auteur n'approuve pas ce point de vue. Il est d'avis que les raisons politiques, la situation intérieure de l'état d ivisé en coteries de m agnats, l'état de guerre permanent, pendant lequel le roi voulait garder le maximum d son influence sur l'armée, décidèrent qu'il légua, scion les anciens principes, le bâton de com m andem ent, non sans différer sa décision, à Stanisław Jabłonowski, parfait sodlat dévoué à son roi.

Dans l'article, on a utilisé la riche littérature se rapportant au sujet, les journaux des diè'.es et des diétines, les m anuscrits.