Je devenais une goutte d’eau, une tache d’encre. Sulla narrativa di Maurice Blanchot

Autores/as

DOI:

https://doi.org/10.18778/2392-0718.10.07

Palabras clave:

Maurice Blanchot, Philippe Hamon, Descriptif, fenomenologia, natura morta

Resumen

Partendo da una serie di analisi contenute nell’opera di Philippe Hamon Rencontres sur tables et choses qui traînent. De la nature morte en littérature, questo saggio punta a sviluppare alcune considerazioni aventi per oggetto la produzione narrativa di Maurice Blanchot. In particolare le nostre osservazioni si concentreranno su alcuni passaggi desunti da tre romanzi del pensatore francese: Aminadab, La folie du jour e Le Très-Haut. In tal modo potremo mettere a punto una prospettiva interpretativa dei récits blanchotiani in cui la nozione di natura morta gioca un ruolo di assoluta centralità. In particolare le nostre analisi si concentreranno sul modo in cui la nozione di natura morta riesce a tramutarsi in un terminale ermeneutico trasversale in seno al quale numerosi elementi specifici e ricorrenti degli universi narrativi di Blanchot trovano una precisa collocazione funzionale e una chiara delineazione concettuale. In seconda battuta, le corrispondenze enucleabili tra il narratore francese e il teorico del descrittivo ci permetteranno di portare in evidenza in sede di conclusioni un ricco plesso di temi e questioni che non solo solcano in profondità la narrativa blanchotiana, ma di fatto possono essere reperiti con una certa facilità presso numerosi autori della letteratura francese del secondo Novecento.

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Publicado

2022-10-13

Cómo citar

Crivella, G. (2022). Je devenais une goutte d’eau, une tache d’encre. Sulla narrativa di Maurice Blanchot. E-Scripta Romanica, 10, 79–95. https://doi.org/10.18778/2392-0718.10.07

Número

Sección

Artículos