Université Jaume I
RÉSUMÉ
Le présent article aborde l’analyse de la persuasion argumentative et de la figuralité dans le discours en rapport avec le lobbying. Pour être convaincant face à leurs interlocuteurs, le lobbying utilise des techniques linguistiques afin de servir leurs intérêts. De son côté, l’opinion publique se sert de ces mêmes techniques langagières afin de dénoncer les activités du lobbying. Ces techniques langagières sont la persuasion et la figuralité, et elles ont pour objectif d’embellir, de critiquer ou d’atténuer le discours, en fonction de la perspective de l’émetteur. Cela permet aussi de caractériser, d’une part, la culture sociale d’une zone géographique déterminée, et de l’autre, le rôle du lobby dans cette société et l’image publique que ce dernier renvoie. C’est dans cette optique d’argumentativité que l’article offre une approche de ces stratégies discursives, par le biais d’écrits scientifiques et médiatiques.
MOTS-CLÉS — lobbying, persuasion, discours, figuralité
SUMMARY
This article discusses the analysis of argumentative persuasion and figurative language in a discourse related to lobbying. To be convincing to their interlocutors, lobbying uses linguistic techniques to serve their interests. For its part, public opinion uses these same language techniques to denounce lobbying activities. These language techniques include persuasion and figurative language. They aim to gild, criticise, or tone down the discourse, depending on the issuer’s perspective. This also makes it possible to characterise, on the one hand, the social culture of a specific geographical area and, on the other hand, the role of the lobby in this society as well as the public image that it reflects. It is in this perspective of argumentativeness that the article offers a report of these discursive strategies through scientific and media writings, such as blogs and dedicated websites on lobbying.
KEYWORDS — lobbying, discourse, persuasion, figurative language
Selon certaines sources, le lobbying se définirait ou bien comme un groupe d’influence, ou bien comme une pression sur les gouvernements actuels pour obtenir un amendement ou une loi (Aurelio, 13/04/2020). Cette pression permettrait de cette façon au lobbying de décrocher un projet avec un centre de décision (ou client du lobby), en prétendant modifier, lors des négociations, les décisions des autorités sur l’acceptation des projets proposés, dans l’objectif d’assouvir ses revendications matérielles ou morales aux moyens d’outils convaincants (Castillo Esparcia, 2011), comme par exemple, la rhétorique qui est un mécanisme argumentatif servant à persuader :
Chez les Anciens, elle [la rhétorique] était une théorie de la parole efficace doublée d’un apprentissage au cours duquel les hommes de la cité s’initient à l’art de persuader. Au cours des âges, cependant, elle est devenue un art de bien dire en se réduisant à un arsenal de figures. Axée sur les ornements du discours, elle en est venue à oublier sa vocation première : imprimer au verbe la capacité à entraîner la conviction (Amossy, 2006 : 1).
C’est à partir de cette persuasion argumentative que le présent article se penche sur l’image sociale du lobbying principalement agro-alimentaire, afin de découvrir si les discours de celui-ci sont amenés à utiliser un langage politiquement correct au moyen de la figuralité dans les campagnes publicitaires et politiques. Pour cela, le corpus est composé d’écrits classiques, scientifiques et académiques, mais aussi de discours médiatiques qui se réfèrent à l’image publique du lobbying. Afin de délimiter le champ de recherche, l’article se concentre sur des exemples européens et américains, car l’activité du lobbying est tolérée dans ces régions du monde autant par la classe politique que par l’opinion publique malgré les débats continus sur cette activité.
Perelman et Olbrechts-Tyteca (1989) expliquent que la différence entre convaincre et persuader réside dans l’image de la raison que l’émetteur possède :
llamar persuasiva a la argumentación que solo pretende servir un auditorio particular, y nominar convincente a la que se supone que obtiene la adhesión de todo ente de razón. El matiz es mínimo y depende, esencialmente, de la idea que el orador se forma de la encarnación de la razón[1] (1989 : 67).
Pour Salvador Liern (2006), la persuasion discursive est assujettie au message, ce dernier dépendant autant de l’émetteur que du récepteur, et sensibilise son interlocuteur afin de le convaincre, au moyen d’arguments rationnels et formels, sous la forme de documents ou de projets textuels. En effet, l’action de persuader est une séduction qui implique une image mentale et s’appuie subtilement sur les changements d’attitude du récepteur, son objectif étant d’arriver à ce que le destinataire modifie son opinion et son comportement en accord avec l’argument persuasif de l’émetteur (Sarria, 2018). Autrement dit, la persuasion amène à influencer habilement les aspects psychologiques du locuteur pour atteindre ses émotions et sa sensibilité. Si certains lobbies préfèrent la transparence de leur activité pour améliorer leur image publique et celle du lobbying en général – comme par exemple, l’organisation mondiale de la protection de la nature WWF qui déclare sur son site toutes ses activités auprès des gouvernements – d’autres se tapissent dans l’ombre et agissent au moyen de la persuasion, comme c’est cas du leader du fast-food américain, McDonald’s. En 2010, en Espagne, la franchise a été la première à obtenir le label Q de Calidad Turística, une obtention qui aurait été frauduleuse, après que la multinationale aurait investi plus de cinq millions d’euros en marketing pour l’acquisition du label, un des plus chers du pays et que seule une poignée d’établissements posséderait ; un investissement onéreux pour persuader les clients-consommateurs des installations et de la qualité de ses produits (Tejera, 26/02/2011), très controversés par l’opinion publique (Spurlock, 2004). Pour cela, au moyen de campagnes publicitaires qui se chiffrent à plus de quatre-cents millions de dollars aux USA[2], la marque mise sur l’accueil convivial des locaux – comme celui en France « Venez comme vous êtes », qui « rappelle à tous ce que devrait être l’essence du commerce. » (Ionis Brand Culture) – sur des communautés interraciales et des célébrités ou encore sponsorise des événements sportifs[3].
Si certaines marques optent pour le greenwashing, d’autres jouent sur les peurs collectives de la guerre et de la maladie. C’est ainsi que la marque Naturalia, spécialisée en produits certifiés Bio et appartenant au groupe français de la grande distribution Casino, propose une gamme de compléments alimentaires pour affronter les températures hivernales avec l’accroche suivante : « cet hiver, évitez les coupures d’énergie », une accroche qui rappelle la possible restriction d’énergie à laquelle la France est soumise en conséquence du conflit russo-ukrainien ; et qui est suivie d’une explication sur les répercussions des variations de température sur le système immunitaire et le risque de maladie lié à ces variations[4]. Cette persuasion discursive a pour finalité de pousser le client-consommateur à acheter des produits qui prétendent préserver des risques de maladie et par conséquent, de survivre aux aléas géopolitiques ; car dans l’imaginaire collectif français « ‟le manger bio” s’inscrit de manière plus large dans le registre du ‟manger sain” […] L’objectif ? Prévenir et limiter les problèmes de santé (46% des acheteurs de bio contre 40% des responsables des achats, 54% des acheteurs réguliers) » (Saint Michel, 14/10/2016). Une perspective que Farr (1986) justifie de la façon suivante :
la representación social de los ‘problemas de salud’ se relaciona con las nociones de ‘malestar’, ‘depresión’ y sobre todo ‘fatiga’, nociones correspondientes a un estado intermedio entre la salud y la enfermedad : el cuerpo está intoxicado, no está verdaderamente enfermo, pero tampoco está bien[5] (1986 : 499).
Cette justification s’étend également au lobbying politique qui veut persuader les électeurs que leur hygiène de vie est la cause de leur mal-être. En Espagne, le Parti Politique Animalier (PACMA) fait pression sur les organismes publiques pour que le véganisme soit instauré comme une hygiène de vie durable et respectueuse, rendant les animaux non-comestibles, et dénonce l’élevage dans les fermes comme la cause majoritaire du réchauffement climatique et de la détérioration de la santé humaine provoquée par l’ingestion de viande. Leur finalité est de faire appel aux émotions de l’auditoire vis-à-vis de la souffrance animale et d’instaurer la peur des conséquences du dérèglement climatique, en imposant un style alimentaire précis comme solution politique.
Pour que la persuasion discursive soit efficace, elle doit s’appuyer sur la figuralité pour enjoliver le discours en le remplissant de fioritures langagières (Amossy, 2006). C’est pour cette raison que le lobbying et l’opinion publique emploient dans leur discours la métaphorisation et l’euphémisation, dont la fonction est d’embellir ou de critiquer le discours pour émettre un message controversé, politisé, voire mensonger.
La métaphorisation est une stratégie discursive pour stimuler l’intellect et l’intérêt des interlocuteurs, et possède la capacité de figuration d’idées et de suggestions créatives dans l’argumentation, suscitant des émotions et des convictions envers une idéologie (Salvador Liern, 2018), et filtrant les perceptions et les représentations mentales, au moyen de catégories de notion que la pensée métaphorique imagine, dans l’objectif de faciliter à l’individu la tâche de penser à la réalité. De cette façon, la métaphore serait une assimilation directe du comparé et du comparant pouvant créer des images surprenantes et d’une grande densité (Salvador Liern, 2006). Plusieurs exemples à continuation représentent l’image métaphorique que l’opinion publique possède sur le lobbying :
Quant à l’euphémisme, il est une figure rhétorique qui appartient aux mécanismes de changement sémantique. Santana Lario (1997) considère cette figure comme un « antídoto del tabú y pararrayos del insulto[9] », qui contribuerait à construire des perspectives du monde et des cadres du consensus social, dont l’objectif est d’harmoniser les relations interpersonnelles, en « édulcorant » les faits et en « polissant » des sujets épineux et potentiellement incorrects, selon les deux exemples suivants :
Nous interprétons donc que la métaphorisation et l’euphémisme ont pour finalité de faire appel aux sentiments de leurs interlocuteurs au moyen de la persuasion discursive, rendant le discours flou, atténué et diffus. Cette atténuation linguistique se dénomme « langage politiquement correct » (LPC) et sert à aborder un sujet sensible de manière à ne pas choquer les interlocuteurs d’une communauté concrète.
Santana Lario (1997) définit le LPC comme :
El uso de un lenguaje técnico, impersonal, burocrático, eufemístico […] separa la palabra de lo que supuestamente representa. Este lenguaje es una tapadera lingüística diseñada para ocultar una realidad desagradable. Es un lenguaje que miente al alejarnos lo más posible de la realidad que pretende representar. Con este lenguaje creamos un distanciamiento psicológico […] y ya no nos sentimos responsables de los resultados de nuestras acciones[10] » (1997 : 332).
C’est-à-dire, un langage pouvant donner lieu à la polémique et à la dérision, tout en défendant une valeur sociale actuelle. Ainsi, la Bible a été l’objet de polémique lorsque des théologiens allemands, pour recruter des adhérents au christianisme, ont fait pression sur le diocèse pour réécrire une version sans « la discriminación de las mujeres, los judíos y otros grupos sociales. Sus editores quieren que su Biblia sea ‟políticamente correcta[11]” » (Ellegiers, 12/11/2006).
Pourtant, le LPC protège aussi des valeurs sociales d’une communauté minoritaire, d’une idéologie ou d’une iconographie à une époque déterminée, et doit donc s’adapter constamment à l’évolution sociale, dans le but de ne pas choquer certaines communautés dont le passé collectif peut être douloureux et traumatisant. C’est le cas de plusieurs marques agro-alimentaires qui ont été l’objet d’investigations judiciaires pour publicité injurieuse. Ainsi, la firme internationale Mars a dû se défaire de son logo Uncle’s Ben pour celui de Ben Original, après avoir été attaquée en justice en 2021 par des défendeurs afro-américains, qui considéraient obscène la représentation iconographique d’un homme de couleur dans les rizières, rappelant ainsi le colonialisme et l’esclavage américain sur un paquet de riz (Le Dé, 01/04/2021). En France, la marque Nutramine, après avoir écopé d’une amende de 650.000 euros en dommages et intérêts (Chain, 24/03/2011), a modifié le logo de six de ses produits de la gamme Banania, car le logo original caricaturait l’armée sénégalaise qui a participé à la Grande Guerre :
Depuis 1915, un logo raciste sur ses paquets. Le personnage, nommé l’Ami Y’a Bon, était une caricature des tirailleurs sénégalais qui ont servi aux côtés de la France pendant la Première Guerre mondiale. Tous les stéréotypes sont représentés : grand sourire, gros nez, grosses lèvres, gros contraste entre la peau noir et les dents blanches… Pour ne pas y voir de racisme, il faut être aveugle. Le personnage avait disparu suite à une première polémique dans les années 70, avant que Banania ne le remette, un peu modifié, en 2005. (Le Dé, 01/04/2021)
C’est ainsi que le changement discursif de marques internationalement connues peut établir un équilibre entre la réalité et leur représentation dans l’imaginaire collectif, en affichant des logos neutres, comme le veut le nouveau logo de Ben’s Original ; ou en favorisant les symboles de communautés minoritaires d’un pays, par exemple, le nouveau logo de Banania affiche un jeune garçon de couleur souriant aux allures d’un jeune de cités de France. Ainsi nous remarquons que le LPC n’est pas un langage universel, mais il est assujetti aux valeurs socio-culturelles d’une communauté très déterminée et peut être employé pour justifier une moralité ou une idéologie. Par conséquent, la figuralité se sert du LPC pour faire passer un message sensible et potentiellement choquant pour l’opinion publique (Santana Lario, 1997), tandis que le LPC peut se passer de la figuralité et peut être employé seul pour affirmer un idéal ou une utopie sociale.
La persuasion linguistique est un moyen d’obtenir des fins politico-commerciales dans le monde du lobbying. Nous nous sommes aperçus que les grandes distributions mettent tout en œuvre pour accaparer l’attention du gouvernement en place (le label Q obtenu par McDonald’s), et celle du consommateur, en lui proposant des produits décrits comme miraculeux (Naturalia). Ce qui permet de convenir que la persuasion dans le discours du lobbying servirait bien pour garder une bonne image face à l’opinion publique, pour apeurer le client-consommateur face à des crises naturelles et géopolitiques et pour convaincre les électeurs d’un changement de comportement. Pourtant, malgré les campagnes féroces de marketing, l’opinion publique ne se laisse pas toujours piéger, puisqu’au travers de la figuralité, elle pointe du doigt l’activité du lobbying et son message sous-jacent, qu’elle ironise (vivre l’expérience climat), compare (oro verde) ou critique (las siete hermanas). Cela revient à dire que la fonction de la métaphorisation et de l’euphémisme serait de provoquer l’idée de persuader grâce à un langage nuancé et/ou humoristique, dans l’objectif d’atteindre les émotions du client-consommateur et les orienter vers une idéologie ou une opinion. Ainsi, ces figures de style amènent l’interlocuteur à un discours plus diffus, qui refuse de heurter la sensibilité d’une communauté précise, en évinçant les sujets catégorisés délicats par le biais du langage politiquement correct.
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